Atim Maikan marchait sur le chaud sable blanc de la plage. C'était là un magnifique endroit. Les oiseaux marins n'étaient pas en manque cette journée la. Le soleil avait taper toute la journée. Le temps commençait à peine à se refroidir. Atim craignait la nuit... Lorsque la lune pointait le bout de ses doux rayons glacés, elle devenait une autre louve. une louve qu'elle n'aimait pas. Mais il lui restait une bonne heure avant le coucher du soleil. Elle s'allongea sur la plage et regarda la mer, fascinée par ce magnifique monde intouchable.

Atim tourna la tête, se leva d'un bond et recula de quelque pas. Une louve se dressait devants elle. Elle n'aimait pas particulièrement la compagnie des femelles, mais elle vit bien vite que celle-ci attendait des petits. Toucher par son amour incroyable envers les louveteaux. Elle esquissa un mince sourire et lui dit. "-Je suis Atim Maikan. Et toi qui est-tu?"

Atim Maikan la regarda, elle lui sourie et dit avec un air enjouer.
"-Je ne fait partie d'aucune meute, je survie avec la viande que les hommes donne aux chiens, et je chasse de petits rongeurs "

Il eu alors un grand instant de silence. Atim regardait le vide. Plus le soleil se couchait, plus elle devenait lunatique. Elle était mi-chien, mi-louve, mais le garda pour elle. La louve était née près du village Inuit. sa mère était une chienne. Jusqu'à deux ans, elle resta chez les autochtones, qui désiraient la domestiquer. En vin, incapable d'arriver à leur fin, il laissa Atim Maikan partir. Depuis, elle veille sur l'homme comme une mère veille sur son louveteau.

"-J'ai été solitaire toute ma vie."

Elle garda son histoire sienne. Elle n'aimait pas parler d'elle.

À ces mots, Atim tourna les yeux vers la louve. Elle avait entendu parler du sale caractère des nocturnes... Elle sourit puis lui dit.
"- Et toi? Tu es de la meute nocturne. Tu n'a pas l'air bien menaçante."
Atim aussi avait un caractère de merde lorsqu'elle le voulait.

Le soleil disparaissais de plus en plus. Et le côté amicale de Atim Maikan semblait le suivre dans sa ronde éternelle entre le sommets du ciel, et le lointain de la mer. Atim recula, en plaquant ses longues oreilles contre sa nuque, dont celle-ci avait le poil légèrement hérisser.
De son regard noir et jugeur, elle lui dit.
"-Qui est-tu"

Aussitôt, Atim Maikan sourit... Elle n'était pas du genre à ce laisser intimider. Elle relava la tête d'un coup et s'assied.
"-Hahaha, intéressante? Je ne vois pas en quoi je pourrait t'intéresser. Mais vas y, explique toi. Sauf bien sur si tu as quelque chose à faire, quelque par d'autre..."
Peut de seconde après, Atim trotta vers la plage. Afin de lui montrer qu'elle en avait que faire de lui.

Atim Maikan ricanna vicieusement sans s'arrêter de trotter sur la plage.
"-Peut importe, puisque ça n'est pas MON point de vue."
Avait-elle dit, avec un peut plus d'intonation sur le "Mon". Le soleil était maintenant à c'est tout dernier rayon. Atim, en fixa l'horizon, se stoppa net, et recula de quelques pas.
*Non, pas déjà*

Du coins de l'oeil, regarda le loup, assis plus loin... Elle roula les yeux en pensant:
*Hum, il devrait arrêter d'agir comme un loup de 8 ans qui trouve le moyen de chialer contre tout et rien.*
Se couchant sur le sable tiède, le chien loup regarda le soleil disparaitre. Un légé grognement s'échappait de sa gueule.

Le hurlement de joie du loup irrita Atim... Qui, dans un moment instable, se leva et marchant en direction de loup. Elle ne montrait pas les crocs, mais sa posture en disait largement sur les pensés de la louve. Elle ne l'attaquerai pas, mais elle ferait en sorte qu'il se la ferme celui-là.

Atim plaqua ses oreilles contre sa nuque, l'air insulter. De ses fortes pattes de derrière, racla le ventre du loup et le repoussa. Son regard noir et froid le fixa. Aucune émotion n'y sentiment ne venait en tête de la louve. Elle lui dit extrêmement doucement, et bas:
"-Si je dois le silence, fais-en autant, et je ne dirai rien."
La louve, froide comme le marbre, ne bougea pas. Elle avait pourtant plein de sable collé aux pattes et au dos... Mais sans fichait... Totalement. Elle fixait le loup droit dans les yeux, attendant une réponse ou une action quelconque venant de l'inconnu.

La louve fut étourdit quelque seconde par la violence de l'attaque du loup. Atim Maikan, avait hérité de la robustesse de son père, se qui lui permis sans doute de voir claire, même avec la morsure bien placer de l'autre loup. Avec ses antérieurs, elle agrippa de toute ses forces à son coup, l'empêchant tant bien que mal de se dégager. Puis de ses postérieur, lui racla de nouveau le ventre avec beaucoup plus de forces que sa première attaque.