Le village, un endroit bien chaleureux mais qui renferme pourtant le souffle du diable et de la haine. Lorsqu'on parle des chien, ici, c'est chaque famille pour soit. Pas question d'héberger un chien si on est pas le propriétaire. Et si l'un deux se fait tuer par un autre, tant pis! Il l'auras chercher. La louve l'avais appris depuis bien longtemps. Et justement, ce jour la, un chien nommé Denahï jugeait depuis longtemps la demis louve. Et cette journée, il avait décidé de se mesurer à elle.

Atim dormait paisiblement dans l'ombre du tipis de Castor-Gris... Elle fut réveiller par une horrible douleur sur le dos. Denahï la retenait au sol. Mais la louve était plus rapide, plus puissante, et plus agile que ces chiens... Elle roula sur le dos et de ses puissantes mâchoires, empoigna la tête du chien, et lui lacera le ventre de ses postérieures. Elle finit par le lâcher et se rué de nouveau sur le pauvre, lui mordant fermement le cou. Après quelques secondes, ses longues canines finirent par trouver se qu'elles cherchaient. La vaine... La où coule le sang de la vie, le chien était perdu.

Ce n'était pas le premier combat auquel elle faisait face. Et ce n'était pas la première vie qu'elle volait. Bientôt, des cris retentirent. "Denahï! DENAHÏ!" Un homme approchait, un bâton de bois à la main. Pour lui, cette bête sauvage allait payer la vie de son chien. La louve grogna contre l'homme et saisit le bâton entre ses dents. Castor-gris sorti et empoigna la nuque de la louve, la faisant dégagé.

"Votre sale bête à tuer mon meilleur chien! Regarder se massacre!"
"Si votre chien serait rester chez lui, rien de cela ne serait arriver. Prenez son corps et quitter ces lieux!" Avait-dit Castor-gris. Il donna un os de caribou à Atim et celle-ci alla plus loins...

Atim vit une sombre silhouette, une centaine de mètres dépasser les limites du village. À ca vue, elle laissa tomber l'os au sol, sachant que des charognard viendraient nettoyer tous ça... Le lendemain, même l'os aurait disparus. Hors elle se dit qu'elle ne gaspillait rien.

La louve sorti du village, sachant que cet inconnu n'approcherait sans doute pas plus ce périmètre. Elle trottait sur cette grande plaine de terre. Rien ne poussais de ce côté du village, une grande piste sec et aride jusqu'au lisières des forêts. Atim aimait se petit désert à ciel ouvert, ou la chasse aux lièvres et aux rongeures était si facile. À peine quelques arbres trouvaient assez d'eau dans le sol pour survivre.

En parlant d'arbre, en voilà un qui lui procurerait assez d'ombre pour ne pas littéralement cuire sur place. Elle s'installa sous celui-ci et attendit que ce loup approche.

Ce loup approcha, lentement tout de même. Il ne dégageait rien de bon. Il ne voulait pas être là... Il se plaça dans l'ombre d'un autre arbre... À quelque mètre de la louve. C'était rassurant, en quelque sorte, si ce loup avait eu une véritable intention de tuer la louve, il l'aurait fait, depuis longtemps...

"-Sache, que même étant à moitié chienne, je ne serait jamais comme l'un d'entre eux. Je n'est pas pus choisir se que je suis, je l'ais été, Voilà tout. Mais j'ai eu la chance de choisir où je voulait être, je ne voulait pas être domestique comme un vulgaire toutou de voyer. Voilà pourquoi je suis ici et pas la bas. Et lorsque j'ai une petite envie de bagarre, je n'est qu'à entrer, ni vue ni connus, et de m'en prendre à un chien."

La louve s'arrêta un moment. Pourquoi était-il là? À lui parler. Atim Maikan n'en voyait pas le but où cela les mèneraient... Bref, elle soupira et regarda le village. Elle était triste pour ces chiens... Être ainsi domestiquer, mais elle ce disait que si l'un d'eux était assez intelligent pour se rendre compte qu'il n'était pas à sa place, il partirait dans les bois...

"-Je ne plains pas se que je suis, au contraire, je me dit que j'ai de la chance. Car j'aurai toujours protection des hommes, et jamais je ne me ferai tuer par l'un d'eux."

Cette phrase, elle en disait bien long. La louve mentirai si elle disait qu'elle ne se servait pas un peut des hommes pour son bien être personnelle.

Le loup... C'est paroles, "Si tu le dis", la louve rigola dans sa tête, il ne lui faisait pas confiance. Et Atim le comprenait. Ce loup avait une haine profonde envers les chiens, les hommes, et tout se qui touchait à ce village. La louve sourie. Et plaqua ses oreilles sur sa nuques. Plein de souvenirs lui revenait en tête. Les dizaine de vies qu'elle avait froidement volé... les centaine de main qu'elle avait violemment mordus... Des trois hommes qu'elle avait gravement blesser...

"-Tu n'a pas tord, les hommes ne sont pas tous bons... Tout comme les loups, n'est-ce pas?"

Elle soupira de nouveau... Tous ces petits souvenirs étaient tellement mélangé, qu'elle en oublia quelques-uns. Et pourtant, les plus violant restaient gravés durement dans sa mémoire. Tant de sang avait coulé dans la vie de cette louve, qu'elle fini par s'en lassé.

"-Mais il ne faut pas s'inquiéter. Si un seul chien venait simplement à m'effleurer, c'en serait fini de lui. Et si un jour, un chien vient à vouloir me tuer, je préfèrerai me tuer moi-même plutôt que d'être tuer par un domestiquer."

La louve afficha un sourire sur sa gueule. Elle savait bien que tôt ou tard, ce loup, elle le croiserait. Et ce jour là, elle aurait bien du plaisir, et elle espérait que ce jour serait la nuit, la où sa gentillesse la quitte, pour laisser place à une bête machine d'insultes, d'arrogances et d'agressions.

"-Hihi, si un jour je venait à mourir, c'est que cela aura été mon destin. Que tout le monde me hais ne me fait absolument aucun mal, car tu vois, je n'aime pas que les autres est un rôles important dans ma vie. Il y a moi, et c'est tout."

Atim Maikan soupira, cette chaleur torride était... Très lourde à supporter. Et cela ne plaisait guère à la louve. Elle souffla un peut avant de regarder les alentours. Le point d'eau le plus près? Où est-il.

La louve soupira. Bien qu'elle trouvait les enfants adorables, elle n'était pas la pour eu, mais seulement pour Castor-Gris. Elle devait la vie pour cet humain. Et elle, lorsqu'on parle de justice, elle sait respecter ses promesse, et pour elle, c'est une vie pour une vie.

"-Bien, mais ces enfants n'ont aucun lien avec moi, fait se que tu veux, je ne suis là que pour une seul famille. Mais si tu cherche à exterminer le village, prend garde à ne pas tuer la famille de Castor-Gris. Ahah, lui, il est sous ma protection."

La louve profita du passage d'un nuage pour ce déplacer. Celui-ci n'était pas bien gros, et ne lui procurerai pas bien longtemps un moment de répits face à cette chaude journée. Atim Maikan ne perdit pas de temps et se leva d'un bon. Elle s'éloigna vers l'ouest du village, là où coule un petit ruisseau, épargné par la sècheresse des dernières semaines.

[Fin du RP ?]

Oui xD