Une arrivée

Le loup sourit lorsque le loup blanc l'attaqua. Dès les premiers coups, son adversaire montrait sa force. Orion ne put s'empêcher de lâcher un :

"-Non mais quelle poigne !"

Du sang coulait déjà beaucoup au sol, le loup gris regarda donc le sol -du mieux qu'il put- et laissa un soupir s'échapper lorsqu'il en déduisit que c'était le sien [Il est malin, hein ?]. D'un mouvement du cou souple, il attrapa la gorge de son adversaire, et serra le mieux qu'il pouvait malgré la masse de son ennemi qui le recouvrait. Il serrait, encore et encore, en poussant sa mâchoire vers le corps du loup blanc. Il voulait que celui-ci recule. Les muscles d'Orion faisaient tout ce qu'ils pouvaient, et le sang coulait de plus en plus.

Psychose, tenant toujours son adversaire, sentit une douleur vive au cou. Il fut, par réflexe, tenté de reculer ma sa folie se décuplait avec la douleur. Le mâle blanc poussa alors de toutes ses forces avec ses pattes arrières, attrappant mieux encore son adversaire. La douleur était une vieille amie du blanc, qui l'admirait plus qu'il ne la craignait. Il n'était pas masochiste, mais ne la sentait plus vraiment tant qu'elle restait physique.
Le cou percé par les crocs tueurs d'Orion, Psychose sentit son souffle devenir moins fort. Il devait réagir si il ne voulait pas finir par étouffer. De plus, il détestait cette sensation de son sang coulant des blessures et tâchant sa belle fourrure. Le mâle blanc lâcha donc le gris l'espace d'une seconde, pour mieux refermer ses mâchoires sur la tête, à la base de l'oreille. Les yeux aussi injectés de sang que le sol n'en était couvert, le dominant Nocturne sentit l'adrénaline s'emparer de son être. Ce combat lui plaisait déjà et un sourire, carnassier, se laissa deviner sur ses lèvres rougies par l'hémoglobine du solitaire.

Arkan resta non loin à les regarder il espérait en apprendre beaucoup sur les méthodes de l'admiration de son frère..
Arkan était impressionner et Psychose était vraiment fort..
Le loup en fut heureux.. Enfin une leçon mieux que celles de son père..

Orion lâche le cou de son adversaire lorsqu'il sentit une douleur intense sur son crâne. Les crocs dévastateurs du grand blanc s'était refermés sur le dessus de sa tête et le sang coulait de nouveau. Beaucoup plus de sang du loup gris était perdu dans la terre que celui du dominant. La masse grise ne se laissa pourtant pas faire. Durant les dernières années qu'il avait vécu, il avait endurer souffrance sur souffrance. Ce n'était pas maintenant qu'il allait se perdre dans celle-ci. Il laissa donc s'échapper un grognement plus semblable à un rugissement avant d'ouvrir grand la gueule et d'attraper la patte de son ennemi. Dès qu'il eut accroché l'antérieur du dominant il serra avec les forces qui lui restait. Son adversaire était bel et bien fort. Très fort même. Orion devait l'avouer. Il lui montrait déjà grand respect. Ses techniques étaient bonnes. Le loup gris décida de se présenter au Démon Blanc.
-Dis moi ton nom... Le mien est Orion...Mais ne va pas te faire des idées et te dire que je m'avoue déjà vaincu, j'éprouve juste du respect envers ta force, adversaire...

Psychose était heureux dans ce combat.
Quand il sentit la douleur de son cou se relâcher, pour mieux apparaître dans la patte, ses crocs serrèrent la tête de son adversaire avec plus de force. Jusqu'à ce que ce dernier se décide à se présenter. Le dominant nocturne lâcha donc le gris, le regard toujours plus fou. Mais soudainement, il coucha les oreilles, montra les dents et une colère énorme fut devinable par ses yeux rouges. Le blanc recula d'un pas, fit clâquer sa mâchoire vers Orion, avant de parler.

" Ce nom ne peut être le tien. Bien que tu sembles fort, tu n'en sera jamais digne."

Les vieilles blessures du démon blanc, à ce nom, s'était rouvertes, plus profondes que jamais. Ce nom, dont il s'était souvenu il y a peu seulement, ce nom qui représentait un passé qui aurait pu être heureux ... Psychose lâcha un grognement enragé, ferma les yeux un instant, puis les rouvrit quand il fut sûr d'avoir à nouveau le contrôle de ses émotions.

"D'où viens-tu ? As-tu de la famille ?"

Et si ... Si c"était vraiment lui ... ? Non, impossible, il était mort ! Et pourtant, le doute.

Orion eu un sourire sanguinaire sur les babines. Il sentit son crâne se soulager et releva sa tête. Beaucoup de sang tombait dans ses yeux et brouillait sa vue. Le loup gris regarda le blanc. 'As-tu de la famille ?' Voilà la question qu'il venait de lui poser. Sa famille à lui. Rien qu'à lui ... Elle était morte. Il savait... ... Enfin.. Non il savait pas, mais, bon ...
-Ma famille à moi est morte, j'ai été séparée de ce qu'il en restait lorsque mes frères et moi nous sommes fait capturer par des humains...
Orion réfléchi puis il porta un peu plus son attention vers une espèce de tache sur le dos de son adversaire.

Psychose se sentait perdu. Trop de coïncidences. Un étrange sentiment au fond du ventre. L'espoir ? Le loup blanc resta figé un long moment, se répétant en boucle la phrase d'Orion. "Capturé par les hommes". C'était lui qui était mort ! Comment, pourquoi ? Psychose sentit son contrôle sur lui-même s'éffilocher, ses émotions menacé de le submerger. Il serra la mâchoire, se refusant de se laisser aller. La fierté l'en empêchait, tout comme la peur que tout cela ne fut qu'un hasard qui coûterai la vie du gris. Une seule façon de savoir si c'était vraiment lui.

"Lew ?"

Si c'était lui, il comprendrait. Si il ne comprenait pas, il pouvait mourir. Non, il ne "pouvait" pas, il mourrait, point à la ligne. Qu'un loup porte le même nom ... Impensable ! Si c'était le cas ... La colère du Démon Blanc ressurgirait, plus puissante que jamais, rappelant ce jour maudit des hommes où un monstre blanc avait commis d'inombrables massacres.

Orion eu un déclic ... Lew ? ... Sa gueule s'ouvrit.
-Elle est ici ?! Tu la connais ? Emmène moi la voir !!
Le loup voulait revoir cette personne qu'il croyait morte, mais il savait, pourtant, au fond de lui, qu'il allait encore une fois être déçu.

Psychose avait les oreilles couchées. Il fixait ce loup gris avec un regard de plus en plus triste. C'était lui. C'était vraiment lui. Il avait envie de lui sauter dessus, de l'embrasser, jouer avec lui, lui montrer l'affection qu'il avait envers ce frère disparu depuis si longtemps. Car plus aucun doute, c'était bien Orion, le vrai. Mais le temps, les blessures, tout l'avait fait changer. Il n'était plus le même, il ne le serait plus jamais. La douleur prit le loup blanc, plus forte qu'il ne l'aurait cru, insupportable. Pourtant, il ne bougea pas. Soudain faible. Animal blessé se rendant compte qu'il n'était pas qui il croyait, qu'il était perdu. Le démon blanc perdant de sa grandeur.
Psychose baissa la tête, l'envie d'égorger son frère le prenant soudainement. La colère se mêla à la peine. Il avait été seul, avait affronter les ennuis pendant si longtemps, s'était cru seul au monde alors que ... Sans Tia, il aurait sûrement trouvé la mort depuis longtemps, furie attaquant, faisant souffrir tout ce qui respirait. Loups, hommes, ours, lynx, le loup blanc s'était attaqué à tout, avait plusieurs fois frôlé la mort. Jusqu'à ce que l'amour renaisse en lui. Lui rappelant qu'il n'était pas qu'un monstre, qu'il n'était pas que Psychose, mais qu'il avait aussi été Sam, un jeune loup peureux, joueur, heureux.

Le dominant Nocturne releva la tête, après un long moment de silence. Il observa Orion droit dans les yeux, peine et colère se mêlant toujours dans une danse au fond de ses yeux. Puis, d'une voix vide, il répondit comme si il annonçait une évidence.

" Elle est morte. "

Il n'avait même pas le courage d'expliquer la fuite, ce sentiment d'être enfin libre, cette joie et cette peur, qu'ils avaient tous deux ressentis avant qu'un homme ne vise et que le corps de Lew ne s'effondre, touchée en plein coeur. Il n'avait pas la force de décrire la façon dont il avait tué ces hommes, ce sang qu'il avait vu, sentit, gouté, ce sang qui lui avait donné la force d'avancer vers les ténèbres, de s'éloigner de la douleur. Il n'avait soudainement plus de force.
Las, le dominant blanc sembla soudainement bien vieux, malgré la prestence qui se dégageait encore de lui. Sa fourrure couverte de sang, ses muscles saillants, sa légende, l'aidait à rester lui-même alors qu'il avait le regard vide et la tête basse.

Puis, soudainement, le loup blanc secoua la tête. Pourquoi se mettre dans un tel état ? C'était le pasés ! Il avait Tia, Leïka, Ridge, Saphir ! Il était dominant, le démon blanc ! Psychose releva la tête et fixa attentivement Orion. Comment allait-il réagir ? Si il ne le reconnaissait pas, le loup blanc lui tournerait le dos, rentrerait chez lui. Si il le reconnaissait ... A voir.

Le loup gris resta là sans bouger. Les griffes s'enfonçant dans le sol un peu plus à chaque réaction du loup blanc. Son ennemi envers qui il avait placé du respect n'était pas le même que tout à l'heure ce loup qu'il voyait devant lui était faible et peureux, petit, sans défense devant la vérité. Orion s'avança et passa sa tête au dessus de la tête du blanc. Il lui passa un coup de langue.

-Alors, Lew est morte, petit frère... Quel bobard atroce tu me racontes là..

Les vieilles blagues idiotes du vieux loups, toutes aussi ridicules et absurdes les unes que les autres...Le loup rabattit ses oreilles sur sa nuque, mais apparemment, n'éprouvait pas la même tristesse que Psychose. Pourtant le grand loup gris finit par dire.

-J'aurais tant voulu la revoir, elle, notre meneuse... Me battre encore une fois avec elle, pour cette fois, pouvoir lui montrer que je suis fort, évolué, développé... Mais non, elle n'est plus là.. Racontes-moi Sam... Comment en êtes vous arrivés là ? Pourquoi ...

Les pattes du loup tremblait. Il ne voulait pas entendre comment leur soeur était morte mais pourtant, il exigeait savoir... Comment se faisait-il qu'elle, celle qui avait toujours était forte sois morte ?! C'était une vérité dure à avaler, tel un os mal mâché qui se coince dans votre gorge.. Orion serrait la mâchoire, il ne savait plus pleurer, il ne pouvait plus, mais pourtant il le voulait. La tête grise claire du loup se leva et un long hurlement de tristesse se fit entendre. On aurait dit que Orion, en faisant ceci allait ramener Lew. Mais c'était impossible. Voilà une scène bien pathétique. Deux grands tueurs, sanguinaires, grands, forts, respectés, puissants... Oui voilà nos légendes... Pleurant tout les deux à leur façon... Tout le monde rirait si il les voyait ainsi... Mais la vie est telle qu'elle... C'est ainsi, on y change rien. Le passé est le passé. Orion se ressaisit. Son sourire canin revint et il regarda Psychose.

-Vas-y Sam, racontes moi, après je te ferais récit de Mon Trajet.

Arkan qui chercher orion pour ces leçon le trouva avec Psychose on dirait deux loups tristes..
arkan voulait les rejoindre quand il sentit que ce n'était pas le moment..
il se sentait bête à les déranger alors il s'assit et attend le dos face à eux pour les laisser un peu en intimité..

Sam ... Il y avait si longtemps ... Le loup blanc ferma les yeux et savoura les retrouvailles avec son frère, tremblant en sentant la langue de son frère sur sa tête. Il avait toujours été le petit dernier, le protégé, le faible ... Sam était faible ...
Prenant une grande inspiration, Psychose se décida à parler, dire oralement ce qu'il avait revécu il y a peu, expliquer ces souvenirs qui lui étaient revenus, atroces. Personne encore n'avait pu entendre ce récit ...

" Nous te pensions mort. Tu n'es jamais revenu ... "

Reproche tourné comme un fait, un fait contre lequel personne ne pouvait rien.

" Lew et moi nous sommes battus, seuls contre tous. Les hommes nous épuisaient, nous devions nous repaire des corps de nos ennemis pour ne pas mourrir ... "

Les images de ces combats sanguinaires, pour la vie, passèrent devant les yeux de Psychose, qui préféra les fermer, comme si ce geste pouvait les annuler.

" Un jour, une fuite. Lew fut abattue à l'orée de la forêt. J'ai voulu la venger, mais ils m'ont récupérer. J'ai perdu les pédales. Dans ma vie, il n'y avait plus que ces combats. Le sang, la douleur ... La douleur ... Je ne la sentais même plus ... Puis, d'autres hommes. Ils ont ouvert la cage. Je les ai tué. Tous. Tout ce qui vivait, j'ai tout tué. Je suis partit et ma seule raison de vivre était de raccourcir la vie des crétins que je croisais. Des crétins qui se plaignaient de leurs vies parfaites, qui ne méritaient pas de vivre. Puis, les tuer, c'était si marrant ... "

Le loup blanc releva la tête, toisant son frère. Il n'était plus le petit Sam. Il était devenu fort, brave, dangereux.

"Sam n'est plus. Je le pensais disparu à tout jamais, mais tu l'a fait revenir, pour quelques minutes. Fais ton deuil Grand Frère. "

Psychose leva la tête, sentant une odeur de plus. Il apperçut l'ombre d'Arkan, à qui il fit un sourire carnassier.

" Je suis Psychose, dominant de la Meute Nocturne. "

Puis, il regarda à nouveau Orion, décidé à faire mourir Sam, à l'empêcher de revenir. Jamais il ne redeviendrait ce louveteau faiblard car désormais, il avait une meute, une famille à protéger.

" A ton tour. Racontes moi pourquoi tu n'es jamais revenu ... "

Arkan les écouter et comprenait Psychose..
Oui lui aussi avait était un sam si on peu dire puis le destin à fait de lui un loup plus fort, moin sentimentale.
. sauf avec ce qu'il considère comme sa famille..
Arkan sourit en pensant que Psychose était peu être le seul à comprendre le jeune loup...

Le loup écouta attentivement son petit frère. Il sourit lorsqu'il parla de la mort de Sam.

-Sam, c'est toi, lorsque tu le tues, tu re tues ta famille... En oubliant Sam, tu oublies ton passé, même si il est douloureux, c'est lui qui t'a construit et qui t'as fait devenir ce que tu es...

Puis le jeune loup blanc lui demanda ce que lui, Orion, avait vécu. Le loup gris fit comme Psychose, il ferma ses yeux, et comme si son passé repassait devant ses yeux, il ouvrit la gueule pour commencer à raconter.

-Moi, je pense que, au début c'était la même chose que vous. On m'a battu, maltraîté, ma nourri, je devais survivre par moi-même, et pour ne pas perdre la tête, je me suis même blessé moi même à plusieurs reprise. Après un mois passé dans une cage, j'ai été vendu à quelqu'un. Tout le monde riait de me voir en cage, impuissant. J'avais beau donner des coups dans l'acier, grogner, croquer... Rien n'y faisait... Et, de plus en plus l'on se moquait de moi.

Un sourire ironique apparu sur le visage du loup :

Normalement, on riait lorsque je contais mes blagues, bref, revenons à ce que je disais.
-Après m'avoir laissé encore longtemps en cage, ces pourritures d'hommes m'ont lâché dans une arène. Et j'ai fait comme vous, je me suis battu, je me suis nourri. Il m'arrivais de ressortir en piteux état mais, je suis toujours en vie. Les hommes m'ont alors trouvé trop dangereux, ils avaient beaux ;de temps en temps; jeter des meutes de chiens sur moi. Je les tuer. Ils ont donc décider de m'envoyer autre part, je ne sais pas où mais là où j'ai était exporter, les chiens étaient plus forts. C'est d'ailleurs là bas que j'ai eu ma si aimée balafre.

Le loup regarda Psychose de son oeil griffé, avec un air ravi sur le visage. °Je l'aime ma balafre moi.° Puis Orion continua son récit.

-Je tuait encore, tu sais, ça à presque commencer à me saouler après. Mais bon. Un jour, j'ai décidé de jouer au rebelle farceur. Alors que l'on allait m'envoyer dans l'arène, j'ai tuer celui qui devait s'en occuper et je me suis enfui, libérant quelques chiens -que j'avais trouvé assez sympa- au passage.
Après ma fugue, j'ai -encore une fois- joué au malin. Mais, la nature à eu raison de moi et à ce moment là j'étais encore bien jeune. Je me suis donc évanoui dans une tempête. Et un homme est venu me chercher. Ma première idée fut de le tuer. Mais lorsque je vis qu'il m'avais soigné, je ne put y remédier. Je ne veux pas non plus être un idiot guidé par ses crocs. Ce vieil homme c'est occupé de moi jusqu'à mes 2 ans et demi. Puis un jour, il est parti. J'ai pris cela pour une trahison et suis parti. Mon voyage m'a amené ici, et je n'en suis que très fier, de t'avoir, enfin, retrouvé...

Psychose resta un long moment silencieux, à méditer les dires de son ainé, avant de laisser un léger sourire, triste, apparaître sur ses lèvres.

" Je n'ai pas eu le choix de tuer Sam. Je ne me suis souvenu de lui il y a peu seulement. Et je ne pourrai jamais le redevenir, désolée Frangin."

Puis, le loup blanc eut une idée soudaine et il remua légèrement la queue, avec un sourire cette fois sincère pour s'exprimer.

" J'ai une idée pour oublier nos douleurs passées. J'ai des personnes à te présenter !"

Une famille. Le dominant Nocturne allait proposer une famille à son frère qui était désormais seul. Ce ne serait pas pareil sans Lew, dont l'absence restait douloureuse, mais ils ne seraient plus seuls à porter leur croix.
Sans vouloir préciser de qui il s'agissait par rapport à sa petite personne, le loup blanc leva son museau vers le ciel et laissa s'échapper un long hurlement, appel destiné à sa famille proche. Chacun de ses hurlements étaient différents, et dans celui qu'il destinait à Tia, Saphir, Leïka, Ridge, Améthyste et Héliodore, il ne pouvait s'empêcher de laisser passer un peu d'amour.

Arkan sourit et ne dit rien.; il était content qu'Orion trouve à nouveau une famille.. Lui n'en avait plus.. vraiment... Il attendait donc que Orion finisse ces retrouvailles pour qu'enfin il puissent s'entreiner comme le loup lui avait promit...

Sujet: Re: Une arrivée Ven 10 Sep 2010 - 7:31

Orion écouta son frère, tout excité par la nouvelle idée de son frère. Mais lorsqu'il ressentit cette once d'amour dans le hurlement de son frère la première chose qu'il put sortir de sa gueule parsemés de crocs tueurs fut.
-Tu... as une ... famille ?
Le jeune loup regarda son frère, il avait réussi bien des choses, où, lui avait échoué.. Ou du moins, ou lui n'avait pas tremper la patte. Mais le vieux solitaire ne broncha pas, il se releva, regarda son frère puis lui sourit, fouettant doucement l'air de sa queue touffue, il avait hâte de voir qui avait pu avoir l'honneur de décrocher le coeur de son frère.

Sujet: Re: Une arrivée Sam 18 Sep 2010 - 18:22

Un grand sourire apparut sur les lèvres du loup blanc en entendant la phrase, hébétée, de son frère. Il était fier d'avoir une famille, fière des siens. Il était heureux de pouvoir les présenter à son frère, eux qui comptaient tant pour le dominant nocturne.

" Qui est aussi la tienne, Frangin. "

Psychose tourna la tête, espérant voir bientôt apparaître la silhouette d'une louve blanche, si belle, si ... Sa Tia quoi. Ainsi que les silhouettes de ses enfants. Il se doutait que Ridge ferait encore une scène - comme chaque fois que son père l'appelait - en bon rebelle insupportable qu'il était. Pourtant, il ne craignait pas de le présenter. Ne pas avoir honte de ses enfants, quoiqu'ils fassent, est la preuve qu'on est de bons parents ! Amen.

Sujet: Re: Une arrivée Dim 19 Sep 2010 - 10:30

Sujet: Re: Une arrivée Sam 2 Oct 2010 - 18:41

Deux silhouettes apparurent enfin au loin. Deux ombres blanches trottant côte à côte, se dirigeant vers les deux mâles. Psychose se leva alors et observa l'arrive des deux femelles. Il tourna légèrement la tête vers son frère, pour avoir les trois loups dans son champ de vision.

" Voilà déjà Tia et Leïka. Elles vont te plaire. "

* Et il n'y aura que Leïka pour faire venir Ridge ici ... Sale gosse ... *

Sujet: Re: Une arrivée Sam 2 Oct 2010 - 21:43

[Elles vont venir ou tu les joues ?]

" Voilà déjà Tia et Leïka. Elles vont te plaire. "

Le vieux loup gris tourna alors sa tête vers Psychose.
-Si tu le dis.

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