Quand les souvenirs sont souloureux (libre)

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Volda surnome par bien des loups "la diablesse" marchait énergiquement,elle était en train de chasser un liévre qui lui donner du fil à retordre.Le nez àau sol,la langue pendante pour prendre le plus d'air possible,elle regarder le moindre recoin de la fôret,sa proie s'arreta à quelques métres d'elle,et elle se stoppa net comme un chien de chasse,posant délicatement et sans faire de bruit ses pattes,elle était prête à la tuer,mais un éclair surgit de nul part attrapa sa proie et partie avec,elle courut aprés avant de sauter devant l'autre lou en disant

"Et c'était am proie!"grogniant

Sujet: Re: Quand les souvenirs sont souloureux (libre) Mer 11 Jan 2012 - 15:10

Omaha était un nouveau venu sur les terres Tranquilles, dont il avait rejoint la meute récemment. C'est un loup gris d'Europe, de bonne taille, très élancé. Ses yeux sont d'un bleu clair, presque blanc qui lui donnent un regard perçant. Si on s'arrêtait-là, il aurait vraiment été parfait. Mais voilà, bien qu'il n'ai que quatre ans, le Tranquille portait une énorme cicatrice à la patte antérieure gauche. On voyait que la blessure devait avoir deux ans au moins car elle était parfaitement cicatrisée, mais elle avait été si profonde que le mâle boitait encore. Cela ne l'empêchait pas pour autan d'être un chasseur remarquable, préférant prendre ses proies par surprises plutôt que de les poursuivre.

C'est de cette façon qu'il attrapa le lapin de Volda : il l'a vu, là, tout près de lui, et c'est par instinct qu'il lui a sauté dessus : on ne sait jamais quand la prochaine proie peut se montrer. Il l'emmenait vers un endroit pour la manger tranquillement lorsque la louve noire sauta devant lui. Il n'était pas encore tout à fait habitué aux odeurs, mais il était sûr qu'elle appartenait aux Nocturnes.

Il s'arrêta, posa le lapin au sol, et regarda la louve de ses yeux si clairs, qui évoquaient un hiver glacial. C'était d'ailleurs son nom de naissance, Winter. Il n'y avait absolument aucune peur dans son regard, juste de la curiosité. Omaha lui répondit alors, de sa voix calme et grave :

"Je ne vous avais pas remarqué. Maintenant que la chose est faite, vous en voulez un bout ? Ou le tout, d'ailleurs, je n'ai pas si faim."

Il n'avait aucune crainte, aucune appréhension.

Volda?

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